En passant par la Lorraine traditionnel - "En passant par la Lorraine" est une des chansons les plus populaires du répertoire français en général, et chez les tout petits en particulier. C'est pourtant une fabrication de circonstance qui apparut en 1885 lors d'une audition de chansons dites "populaires" ou folkloriques, devant un parterre d'érudits. La troisième république avait commencé sa croisade pour l'enseignement publique partout en France, et des chansons en bon français ! figuraient au programme du certificat d'étude. "La Marseillaise", bien sûr, mais aussi des rondes venues de toutes les provinces. On retrouve l'origine de la mélodie et des paroles dans une chanson bretonne "En m'en revenant de Rennes" dont l'existence remonte au moins au XVIeme siècle, et sa variante "C'était Anne de Bretagne". Après être tombée dans l'oubli, un petit malin l'a redécouverte et réécrite en bon français, ajouté un refrain avec mes sabots dondaine.... Et surtout, il eut l'idée géniale de remplacer Rennes par Lorraine. Aucun français ne pouvait alors chanter ce refrain sans songer à la province perdue, à la honte de la défaite de 1870, et à la revanche à laquelle déjà on se préparait... Ref Histoire de la chanson française, par Claude Duneton. Ecoutez la musique Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Lecture mp3 Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Les plus belles chansons d'enfants vol 1 En passant par la Lorraine, Avec mes sabotsEn passant par la Lorraine, Avec mes sabotsRencontrai trois capitaines, Avec mes sabots dondai-neHo! Ho! Ho! Avec mes sabots. Rencontrai trois capitainesIls m'ont appelée m'ont appelée vilaine,Je ne suis pas si vilaine !Je ne suis pas si vilainePuisque le fils du roi m'aime !Puisque le fils du roi m'aimeIl m'a donné pour m'a donné pour étrenneUn joli pied de joli pied de verveineS'il fleurit je serai fleurit je serai reineS'il meurt je perds ma peine. Cette chanson existe sur les CD suivants Rondes et chansons enfantines par Bourvil et les Pierrots Parisiens Mega p'tits loups Les plus belles chansons d'enfant vol 1 Chansons pour les enfants - 1928-1943 ..Descomptines au double sens préventif. « À la pêche aux moules » . Attention au groupe ! À la pêche aux moules, moules, moules, Je n’veux plus y aller maman. Les gens de la ville, ville, ville. m’ont pris mon panier, maman . Quand une fois ils vous tiennent, tiennent, tiennent, Sont-ils de bons enfants. Le deal à ne pas rater Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français où le ... Voir le deal * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations Validées 2 participantsAuteurMessageJane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Mar 19 Aoû - 1642 .QUELQUES RPGS .1° CREPUSCULELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle s'imisça au détour du feuillage foisonnant. Le parc de Poudlard semblait bien éveillé, chuchotant de mille voix les secrets microscopiques de Dame Nature. Jane releva son chemisier de flanelle blanche sur ses épaules dénudées. Il y'avait cela de plaisant aux vacances ... On pouvait se vêtir selon nos choix. Bye bye l'uniforme et bonjour aux couleurs et motifs orientaux. L'extravaguance ... Telle devait, semblait il, être la règle d'or en cette fin de vacances. Jane esquissa l'ombre d'un sourire, parcourant de ses yeux mordorés les tapis de fleurs qui embaumaient le miel et le parfum de songes. L'été ... Ah qu'il faisait bon en ce début de soirée. Le soleil entammait tout juste sa course vers l'Orient, tandis que Dame Lune devait attendre patiemment le début de son règne. Jane se mit à chantonner. Tout se prêter à la gaieté, l'insousciance ...*Je miamerais bien une Barbe à Papa moi ...*Hélas, pas de barbe à papa à l'horizon. Jane réprima cette envie, impulsive. Arf la barbe à papa, c'est comme le chocolat ... Quand ça vous tient, ça ne vous lâche pas de bonne grâce!Il faisait chaud et Jane avait résolu de faire trempette dans le lac du château. Les rives étaient désertées à cette heure. Le cadran solaire indiquait 18 heures. Elle ne disposait plus que d'une heure, le couvre feu étant à 19 heures. Les berges étaient tamisées de gazon, de reflets solaires, d'une brise légère ... Un vrai décor de carte postale. Notre petite Jane s'étendit donc sur l'herbe grasse, les yeux mi clos, savourant ce début d'été à plein poumons. Nootre fillette laissa chavirer se spetons dans l'eau tiède. La légende contait qu'un gigantesque calamar, créature abyssale, avait élu résidence dans les profondeurs. On racontait aussi que le lac passait également sous les fondations du chateau. Jane était fascinée par ses croyances superstitieuses. On ne connaitrait jamais le fin mot de l'histoire et aprés ... Des bruits de pas l'interrompirent, coupant court à ses pensées vaguabondes ...2° DOUCE SOIREELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle revêtit une robe de sombre velours, cadeau de son paternel. Un hibou hululait dans le lointain, écorchant ainsi le silence noctambule qui beignait le château. conduit ses membres engourdis par la fatigue en direction de la lucarne qui scindait le mur de pierres noircies. Accoudée de cette manière, notre demoiselle pouvait entrevoir la cîme des hauts feuillages, le murmure du lac endormi, les parterres de fleurs éclos ... Dame Nature semblait s'assoupir au rythme des vaguelettes qui venaient s'échouer sur les rives du lac. Un parfum de songe, éphémère, embaumait l'air. Jane gonfla ses poumons, expirant sa fatigue au travers de ses lèvres gercées. Murmurant une douce comptine, notre fillette releva ses longs cheveux mordorés, d'une main guantée de blanc, évasive. Le château était déserté à cette heure tardive. Chacun avait gagné son dortoir, selon le reglement. Le couvre feu ne tarderait guère. Il était bientôt onze neuf heures. Dans une demi heure, tous ronfleraient, les poings fermés. Jane enfila une paire de pantoufle à la hâte, avant de dévaler les escaliers de marbre blanc, déambulant ainsi de corridors en corridors. En ce début de soirée, Jane ressentait le besoin de s'exiler, de naviguer hors du connu ... Peut être même de venir s'échouer dans un recoin de la salle des trophés. Jane esquissa l'ombre d'un sourire. La fenêtre était entrouverte et ce fut avec délicatesse qu'elle la clos de nouveau. Lasse, épuisée, Jane vint s'asseoir sur les contours d'un banc décrépi, abandonné là depuis nombre d'années ... Qui avait bien pu s'asseoir là avant elle ... Combien d efantôme avait traversé cet obstacle taillé de bois ... Quel en été l'artisan ... Autant de questions saugrenues, sans queue ni tête que notre fillette se répétaient, comme de coutume. Jane soupira. Il était encore loin le temps des cerises ... Qu'importe! Les saisons se succédaient, les unes aprés les autres, sans bel élément pour les distinguer ... Excepté le rire de son amie Gin' et l'immagination sans détours de sa comparse Lulu bien entendu ... Rien n'égalait la fraîcheur de l'enfance pour égayer les songes de notre adolescente. Jane se surprit à balancer ses jambes d'avant en arrière, distraite. D'un élan, elle les envoya promener contre un trophé de bronze qui vascilla dangereusement. Des bruits de pas résonnèrent non loin d elà , elle en était certaine désormais ... Jane souffla la bougie qu'elle venait d'allumer, plongeant la pièce dans une pénombre difficilement sondable. La porte grinça, s'entrebaillant légèrement ... Jane retint son souffle, saccadé ... Les contours d'une silhouette se dessinèrent alors ... Dehors, la lune diffusait son pâle halo de lueur blanchâtre ... Jane poussa un cri de surprise avant de plaquer sa main devant sa bouche ...Le cri avait été contenu in extremis. Se laisser aller à de semblables exclamations n’étaient guère recommandé lorsqu’on se trouvait à des mille de sa salle commune. Jane, bien qu’encore loin des rivages de la raison, avait toujours été une demoiselle des plus sages. Elle comprenait toute situation insolite d’un battement de cil et avait appris, avec l’âge, à anticiper de pareilles rencontres. Une silhouette se mouvait derrière la porte, certes, mais rien ne laissait croire que ce fut celle d’un membre du personnel. Quoique la silhouette fût haute, Jane considéra que cela n’avait rien d’anormal. Ce devait être dû à la lueur de la lune qui projetait des silhouettes difformes sur le mur de pierres noircies, telles des ombres chinoises. Notre demoiselle inspira profondément … Quand bien même ces contours inconnus auraient appartenus à un préfet quelconque, cela n’aurait guère été un problème pour Jane qui comptait deux de ses meilleures amies chez les préfets. Après tout … Que risquait elle sinon une heure de retenue barbante … Mais la peur de se faire disputer céda la place à de nouvelles anxiétés. L’élève en question lui demanderait certainement des comptes … Bien entendu, elle n’était point obligée de répondre mais cela paraîtrait sans doute louche. Et comment expliqué ce désir de solitude qu’elle avait ressentit en ce début de soirée et qui lui nouait désormais les entrailles, tel un étau d’acier au creux de son ventre ? Non, cela semblerait tout autant bizarre pour quiconque connaissait la bonne humeur et l’esprit de camaraderie de notre fillette … Mais alors quoi … Sans doute aurait elle du songer à se cacher mais elle n’en fit rien, bien trop perplexe pour permettre à ses membres endoloris le moindre bout de quelques instants, la porte bascula tout à fait et Jane cru distinguer la carrure masculine d’un élève de son âge, du moins guère plus âgé. La présence se fit sentir, imposante, dans cette pièce sombre et silencieuse. La silhouette s’immergea un peu plus dans les lieux avant de clore la porte dans un claquement insonore. Désormais, ils étaient deux dans ce recoin exilé … Elle qui souhaitait être seule, c’était manqué. Notre petite fille se surprit à s’imaginer pour quelles diverses raisons cette autre personne pouvait elle se trouver là … Comme de coutume, sa curiosité l’emportait encore loin des sentiers battus … La salle des trophées n’était pourtant pas le lieu le plus fréquenté de Poudlard, loin s’en fallait. Enfin, ce n’était pas plus son problème que la calvitie du vieux Flitwick et Jane prit parti de se taire. La grande horloge du château sonna neuf heures dans le lointain. Un bruissement agita quelques instants les feuillages et la lucarne entrouverte claqua de nouveau. Jane s’empressa d’en condamner l’accès à l’aide d’une poutre de bois qui traînait à ses pieds. Une fois le tour accompli, celle-ci se hissa sur la pointe des pieds, découvrant de ses grands yeux mordorés l’inconnu qui se trouvait désormais face à elle. C’était un garçon d’environ dix sept ans, à peine plus âgé qu’elle. Il arborait les couleurs de Poufsouffle, du moins fut ce ce qu’elle cru entrevoir dans la pénombre qui s’estompait peu à peu. Il aurait surement brisé bien des cœurs s’il n’affichait sans cesse ce regard étrange qui décourageait d’avance les plus audacieux. Jane ne connaissait point son nom, bien qu’elle l’ait déjà croisé quelques fois sans le remarquer vraiment … Ce fut d’une voix évasive qu’il s’excusa d’un mot. Notre demoiselle hocha la tête, quelque peu égarée par cette drôle de rencontre … RoasenbergPRENOM ~~> JaneAGE ~~> 15 AnsANNEE ~~> 5EmeDATE DE NAISSANCE ~~> Le 25 NovembreLIEU DE NAISSANCE ~~> Londres-Royaume-UnisORIGINE ~~> Sang-PurPHYSIQUE ~~>Voici un portrait de moi. Il date de l’année dernière. Oh, je n’ai guère changé depuis le mois de Mai. De toute façon, maman dit que je ne grandirai plus. Sorcière, plus d’excuse pour la soupe !Eh oui … Je suis plutôt mignonne. Non, vous m’aviez promis … Pas ordinaire ! Enfin si, peut être un poil mais rien de méchant. Comme beaucoup de demoiselles, je traite mes boutons d’acné en grimaçant, j’ai les épaules légèrement recourbées, un nez trop long à mon goût et un teint couleur papier chiotte. Je suis plus blanche qu’un cachet d’aspirine. Quand j’étais petite, ma mère me tartinait d’onguents magiques pour brunir ma peau du nord. Mais avec l’âge, elles perdent de leur efficacité. Mais on s’y fait à la longue. Les garçons ont grandis eux aussi et ils ne m’appellent plus grande perche en me désignant du doigt dans les escaliers. Et oui … Je ne suis pas miraculée et je vis le lot de tous mes camarades. Enfin, excepté les grosses dindes qui se pavanent avec leurs cheveux couleur de blé. Ce qu’elles peuvent m’agacer. Pour sur, elles ne sont pas ordinaires celles-ci. En revanche, j’ai un regard qui tue. Pour de bon, ce ne sont pas des blagues. A croire que Dany Brillant chantait pour moi … Non je plaisante … J’ai donc de beaux yeux sombres, légèrement bridés qui donnent à mon regard une ampleur dimensionnelle. Surtout quand je les cerne de noir. Papa n’aime pas que je me maquille. Il dit que ce n’est pas de mon âge. Attendez j’ai quinze ans quoi … Toutes mes copines se maquillent. Pfff … Comment je peux leur expliquer ça moi. Remarquez, vu comme je gigote tout le temps, ça ne tiendrait pas. Je cours de kilomètres et bam je transpire, fond de teint foutu. Je bois un grand coup de citrouille et boum, fini le rouge à lèvre. Et encore, je ne vous parle pas du mascara lorsque je me ramasse dans l’escalier et que je finis en larmes chez l’infirmière. En somme, je préfère aérer un peu mon beau visage de princesse ~~>Et voila c’est reparti … Qu’est ce que c’est que ces questions malvenues … Bon après tout pourquoi pas, mais laissez moi vous dire que vous êtes un bien drôle de lecteur et que vous seriez plus satisfait d’une interview du prince toujours été capricieuse et légèrement décalée quant au reste du monde. De plus, ce qui ne gâche rien au spectacle, j’étais très bonne comédienne. Je suis certaine que ma mère se ferrait un plaisir de vous conter mes scènes larmoyantes. Au final, je puis vous dire que j’obtenais régulièrement gain de cause. Il y’a autre chose que vous devez savoir sur moi … Non seulement je suis une petite fille comme les autres, mais en plus de cela j’ai horreur de me sentir ordinaire. Je rêve bien volontiers de mon nom écrit dans les livres d’histoires, ou bien encore de ce beau navire drapé de noir dont je vous causais tout à l’heure. Je m’imagine corsaire ou vagabond, princesse ou Charlemagne. Tout ce que vous voulez tant que ce n’est pas à la portée des autres enfants de mon âge. C’est aussi pour cette raison que je choisis Etude des moldus comme option, lorsque tous mes autres camarades se rendirent en classe de divination ou d’arithmancie. Résultat des courses … Nous ne sommes que trois pingouins durant ces heures ! Outre mon fichu caractère, je suis débordante de vitalité et de curiosité. Pour moi, la vie c’est comme un gros gâteau au chocolat. On se régale du début à la fin … Mourir d’une indigestion, ne serrait ce pas le rêve ?!Je suis également une grande sportive et véritable amatrice des jeux olympiques moldus. J’aime particulièrement ce qui a trait à la mer. L’été dernier, j’ai fait un stage de planche à voile, et croyez moi bande de gras du bide, on force sur les bras. Je suis aussi une camarade drôle et pleine d’une imagination débordante. Lorsque nous n’étions encore que des petits bébés de première année, nous nous rassemblions dans le dortoir afin de laisser libre court à notre imagination. J’inventer alors des contes merveilleux des quatre coins du monde, mimant la baleine bleue tout en gonflant mes joues rosées. Outre cela, je suis dotée d’un sens de l’équité, de la justice et de la tolérance qui ne se compte plus en bornes … Par contre je vous ai pas dit … J’ai une grave maladie Roulements de tambour … J’ai la bougeotte en permanence ! Rires … Sisi c’était drôle.HISTOIRE ~~>Bonjour à vous, cher lecteur. Mon nom est Jane Roasenberg. S’il peut vous paraître incongrue à vous, français, il semble des plus ordinaires dans mon pays natal, l’ prénom ordinaire pour une fillette des plus ordinaires en somme. Je vis en plein cœur de Londres, dans une modeste villa, prés du quartier latin. Je manie parfaitement le français, du moins à l’oral, parce qu’avec toutes ces conjugaisons … Je soufflerai mes quinze bougies le mois prochain. Autant vous dire que les préparatifs vont bon train … Quinze ans, ce n’est pas rien après tout … On quitte les douceurs de son âge pour gravir le sentier rugueux de l’adolescence … La belle affaire !Je suis fille unique mais il y’a toujours une bonne dizaine d’enfants à la maison. Laissez-moi-vous éclairer. Ma mère, Holly, est nourrice à mi temps. De plus, ma tante est une vraie pouponnière qui habite la ruelle qui fait l’angle … Donc les biberons valsent chaque matin, au lever du jour. Pas idéal pour faire la grasse mat’ mais à dire vrai je m’en réjouis plutôt. Mon père quant à lui tient un modeste commerce sur le Chemin De Traverse. On le surnomme joyeusement Gray le cuistot parce qu’il passe la majeur partie de son temps à mijoter de drôles de potions dans une marmite d’eau on me demande ce que je suis … Je ne saisis pas toujours le sens de cette question. Un jour, Oncle Jonhatan m’a expliqué que nombre de sorciers attribuaient de l’importance à ce qu’ils appellent la pureté de l’ascendance. Rendez vous compte … Je pensais que de nos jours, on ne s’arrêtait plus à de telles broutilles mais il paraît au contraire que cela doit être spécifié sur votre carte d’identité … Allons donc ! Je ne sais jamais vraiment que répondre … Je ne suis pas un crackmol, dieu merci, ni d’origine moldue puisque mes deux parents sont des sorciers … Cependant, mes grand parents du côté maternel n’étaient que simples moldus aristocratiques. Ils ont déshérité leur fille lorsqu’ils l’ont su ces bougres … Enfin bon, on s’égare … Où en étions nous ? Ah oui, mon enfance … Ce fut une enfance des plus ordinaires et je vécus les douceurs de mon âge sans trop de soucis … Quoique … Il y’a bien Baluchon, mon chimpanzé, importé des Indes par mon adorables cousin Louis, qui mourut prématurément. Et puis, si je me souviens bien, mémé Rose m’obligea à porter ces affreuses lunettes rondes durant mes deux premières années d’école. Sans compter mon dictateur de père qui me forçait à ranger ma chambre tous les lundis sans faute … Mais si on y réfléchit à deux fois, on s’apercevra sans mal que je fus une drôle de fillette bien tranquille dans son petit nid douillet. Je ne connus pas même le moindre bout d’un enterrement ou d’une séparation … Parfois, je me surprenais à échafauder des plans machiavéliques pour faire en sorte que ma vie soit plus attrayante. Je m’imaginais alors corsaire, à bord d’un beau navire drapé de noir. J’ai toujours aimé la mer. Quand j’étais plus jeune, nous partions chaque été en vacances, dans le sud de la France. L’eau y est plus chaude qu’en Angleterre, pour sûr. Nous dormions dans une cahute de pêcheur, chez mon oncle Sam, et sa française de femme, Alyson. J’étais même là pour le baptême du petiot, Oliver. Lorsqu’il était né, la légende raconte que le marmot avait les pieds palmés et que son père s’était écrié, levant les mains au ciel "Tonnerre de Brest … Il mourra en loup de mer … C’est écrit …"Personne n’y croyait vraiment mais tous faisaient mine de s’extasier devant les pieds tordus du nourrisson. Moi je rigolais bien tout de même. A l’école, c’était autre chose, ah ça oui. Je n’ai jamais été une lumière mais il y’eut des fois où mes instituteurs s’arrachaient littéralement leurs beau duvet grisonnants. Enfin bon, j’aimais lire, ce qui me maintenait tout juste en dessous de la moyenne. Pas de quoi en faire un fromage. Bien que mes bulletins scolaires ne soient pas brillantissimes, je me plaisais tout de même beaucoup dans ma nouvelle école. Le château m’apportait ce petit renouveau qui m’avait jusque là bien manqué. Je passais la plupart de mes vacances auprès de mes parents et des petits geignards, en vadrouille dans le salon. Vraiment … Je ne vois pas en quoi cela peut vous intéresser mais bon, puisque vous insistez, laissez moi continuer …Côté relationnel, je n’ai jamais eu de grands problème. Le temps était au beau fixe. J’étais une camarade extravagante et pleine de vie. En somme je n’eus guère d’ennuis avec mes petits compagnons ces quatre premières années. Je me souviens même de quelques flirts à l’occasion. Comme la plupart des filles de mon âge, je ressemblais plus à un pigeon qu’à une tourterelle avec mes longs cheveux filasses, mes quelques boutons d’acné et mes trois kilos en trop. Cependant, je ne m’en plaignais point, considérant la chance que j’avais que le sort ne m’ai point doté d’un corps de dinde. Si si, regardez bien … Il y’en a beaucoup qui se ballade dans les couloirs du château. De plus, j’avais, puis je m’admirer un poil s’il vous plaît, un magnifique regard sombre, débordant de caractère. C’était tout moi, et ce, en un seul battement des ma quatrième année, il y’eut du relâchement. La crise d’adolescence comme me le fis sagement remarquer ma mère dans chacune de ses lettres. Elle a parfois le don de m’agacer, comme beaucoup de mères semble t’il !Je manquai les cours plus souvent que de raisons, devenant de moins en moins assidue, sans qu’il n’y ait rien d’alarmant cependant. Je me disputais aussi un peu avec mon ami Raoul et perdit une belle somme en jouant à saute dragon avec des trolls. Je me repris tout juste en fin d’année et passai en cinquième année, au grand soulagement de mes voili voilo … Me revoilà sur scène … La vie plate et monotone de Melle Jane Roasenberg n’a pas fini de vous barber … A la prochaine!PARTICULARITES ~~> Un goût prononçé pour les ~~> Gentillesse, Douceur, Immagination, Drôle, ~~> Tête de mule, Gourmande, PREFEREE ~~> AstronomieMATIERE DETESTEE ~~> Métamorphose. VOUS .PRENOM ~~> LouAGE ~~> 18 AnsOU AVEZ VOUS CONNU LE FOFO ~~> Via un Top SitesCOMMENT LE TROUVEZ VOUS ~~> Cool ... AVATAR ~~> Hayden PannetièreCODE ~~> NOTE RP ~~> Hum ... Je dirais 6/10 ...Je me suis permise quelques pitits rajouts vis à vis de la fiche modèle ... Veuillez m'excuser. Je m'empresse de les ôter si cela ne vous convient pas ... Dernière édition par Jane Roasenberg le Mar 19 Aoû - 1652, édité 1 fois Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1647 Bienvenue ! Don't Worry, Be Happy. J'empêche personne d'arranger sa fiche comme il veut, il faut juste avoir le principal =P Ta fiche est très bien & je pense que tout y part un seul truc Le code du règlement ! ^^Sinon, tu as une préférence pour ta maison ?_________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1654 Merci pour ce bel acceuil ... J'ai rectifié mes erreurs En ce qui concerne mon appartenance à une maison, je vous laisse le soin de choisir pour moi ... Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1655 Le code est correct, je ta maison, j'hésite entre Poufsouffle & Gryffondor, mais je pense que tu serais mieux à ca ne te convient pas, n'hésite pas à le dire _________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1658 Va pour Poufsouffle ... No soucis Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1707 Tant mieux, donc LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Contenu sponsoriséSujet Re Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations ValidéesSauter vers Legrand loup du bois Hou ! hou ! hou ! Le grand loup du bois Il ne mange pas les filles Il ne mange pas les gars Il préfère la vanille Les bonbons au nougat pour écouter la chanson suivante Lire la suite tribune libre: autres comptines de loup Publié le 26 février 2010 par isa. TRIBUNE LIBRE AUTEURS DES RECHERCHES : VIRGINIE, SEV Petit loup, petit loup est Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon Japon le display Pokémon Go de retour en stock sur ... Voir le deal * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations Validées 2 participantsAuteurMessageJane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Mar 19 Aoû - 1642 .QUELQUES RPGS .1° CREPUSCULELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle s'imisça au détour du feuillage foisonnant. Le parc de Poudlard semblait bien éveillé, chuchotant de mille voix les secrets microscopiques de Dame Nature. Jane releva son chemisier de flanelle blanche sur ses épaules dénudées. Il y'avait cela de plaisant aux vacances ... On pouvait se vêtir selon nos choix. Bye bye l'uniforme et bonjour aux couleurs et motifs orientaux. L'extravaguance ... Telle devait, semblait il, être la règle d'or en cette fin de vacances. Jane esquissa l'ombre d'un sourire, parcourant de ses yeux mordorés les tapis de fleurs qui embaumaient le miel et le parfum de songes. L'été ... Ah qu'il faisait bon en ce début de soirée. Le soleil entammait tout juste sa course vers l'Orient, tandis que Dame Lune devait attendre patiemment le début de son règne. Jane se mit à chantonner. Tout se prêter à la gaieté, l'insousciance ...*Je miamerais bien une Barbe à Papa moi ...*Hélas, pas de barbe à papa à l'horizon. Jane réprima cette envie, impulsive. Arf la barbe à papa, c'est comme le chocolat ... Quand ça vous tient, ça ne vous lâche pas de bonne grâce!Il faisait chaud et Jane avait résolu de faire trempette dans le lac du château. Les rives étaient désertées à cette heure. Le cadran solaire indiquait 18 heures. Elle ne disposait plus que d'une heure, le couvre feu étant à 19 heures. Les berges étaient tamisées de gazon, de reflets solaires, d'une brise légère ... Un vrai décor de carte postale. Notre petite Jane s'étendit donc sur l'herbe grasse, les yeux mi clos, savourant ce début d'été à plein poumons. Nootre fillette laissa chavirer se spetons dans l'eau tiède. La légende contait qu'un gigantesque calamar, créature abyssale, avait élu résidence dans les profondeurs. On racontait aussi que le lac passait également sous les fondations du chateau. Jane était fascinée par ses croyances superstitieuses. On ne connaitrait jamais le fin mot de l'histoire et aprés ... Des bruits de pas l'interrompirent, coupant court à ses pensées vaguabondes ...2° DOUCE SOIREELe crépuscule teintait à peine le ciel nacré de brume lorsque notre demoiselle revêtit une robe de sombre velours, cadeau de son paternel. Un hibou hululait dans le lointain, écorchant ainsi le silence noctambule qui beignait le château. conduit ses membres engourdis par la fatigue en direction de la lucarne qui scindait le mur de pierres noircies. Accoudée de cette manière, notre demoiselle pouvait entrevoir la cîme des hauts feuillages, le murmure du lac endormi, les parterres de fleurs éclos ... Dame Nature semblait s'assoupir au rythme des vaguelettes qui venaient s'échouer sur les rives du lac. Un parfum de songe, éphémère, embaumait l'air. Jane gonfla ses poumons, expirant sa fatigue au travers de ses lèvres gercées. Murmurant une douce comptine, notre fillette releva ses longs cheveux mordorés, d'une main guantée de blanc, évasive. Le château était déserté à cette heure tardive. Chacun avait gagné son dortoir, selon le reglement. Le couvre feu ne tarderait guère. Il était bientôt onze neuf heures. Dans une demi heure, tous ronfleraient, les poings fermés. Jane enfila une paire de pantoufle à la hâte, avant de dévaler les escaliers de marbre blanc, déambulant ainsi de corridors en corridors. En ce début de soirée, Jane ressentait le besoin de s'exiler, de naviguer hors du connu ... Peut être même de venir s'échouer dans un recoin de la salle des trophés. Jane esquissa l'ombre d'un sourire. La fenêtre était entrouverte et ce fut avec délicatesse qu'elle la clos de nouveau. Lasse, épuisée, Jane vint s'asseoir sur les contours d'un banc décrépi, abandonné là depuis nombre d'années ... Qui avait bien pu s'asseoir là avant elle ... Combien d efantôme avait traversé cet obstacle taillé de bois ... Quel en été l'artisan ... Autant de questions saugrenues, sans queue ni tête que notre fillette se répétaient, comme de coutume. Jane soupira. Il était encore loin le temps des cerises ... Qu'importe! Les saisons se succédaient, les unes aprés les autres, sans bel élément pour les distinguer ... Excepté le rire de son amie Gin' et l'immagination sans détours de sa comparse Lulu bien entendu ... Rien n'égalait la fraîcheur de l'enfance pour égayer les songes de notre adolescente. Jane se surprit à balancer ses jambes d'avant en arrière, distraite. D'un élan, elle les envoya promener contre un trophé de bronze qui vascilla dangereusement. Des bruits de pas résonnèrent non loin d elà , elle en était certaine désormais ... Jane souffla la bougie qu'elle venait d'allumer, plongeant la pièce dans une pénombre difficilement sondable. La porte grinça, s'entrebaillant légèrement ... Jane retint son souffle, saccadé ... Les contours d'une silhouette se dessinèrent alors ... Dehors, la lune diffusait son pâle halo de lueur blanchâtre ... Jane poussa un cri de surprise avant de plaquer sa main devant sa bouche ...Le cri avait été contenu in extremis. Se laisser aller à de semblables exclamations n’étaient guère recommandé lorsqu’on se trouvait à des mille de sa salle commune. Jane, bien qu’encore loin des rivages de la raison, avait toujours été une demoiselle des plus sages. Elle comprenait toute situation insolite d’un battement de cil et avait appris, avec l’âge, à anticiper de pareilles rencontres. Une silhouette se mouvait derrière la porte, certes, mais rien ne laissait croire que ce fut celle d’un membre du personnel. Quoique la silhouette fût haute, Jane considéra que cela n’avait rien d’anormal. Ce devait être dû à la lueur de la lune qui projetait des silhouettes difformes sur le mur de pierres noircies, telles des ombres chinoises. Notre demoiselle inspira profondément … Quand bien même ces contours inconnus auraient appartenus à un préfet quelconque, cela n’aurait guère été un problème pour Jane qui comptait deux de ses meilleures amies chez les préfets. Après tout … Que risquait elle sinon une heure de retenue barbante … Mais la peur de se faire disputer céda la place à de nouvelles anxiétés. L’élève en question lui demanderait certainement des comptes … Bien entendu, elle n’était point obligée de répondre mais cela paraîtrait sans doute louche. Et comment expliqué ce désir de solitude qu’elle avait ressentit en ce début de soirée et qui lui nouait désormais les entrailles, tel un étau d’acier au creux de son ventre ? Non, cela semblerait tout autant bizarre pour quiconque connaissait la bonne humeur et l’esprit de camaraderie de notre fillette … Mais alors quoi … Sans doute aurait elle du songer à se cacher mais elle n’en fit rien, bien trop perplexe pour permettre à ses membres endoloris le moindre bout de quelques instants, la porte bascula tout à fait et Jane cru distinguer la carrure masculine d’un élève de son âge, du moins guère plus âgé. La présence se fit sentir, imposante, dans cette pièce sombre et silencieuse. La silhouette s’immergea un peu plus dans les lieux avant de clore la porte dans un claquement insonore. Désormais, ils étaient deux dans ce recoin exilé … Elle qui souhaitait être seule, c’était manqué. Notre petite fille se surprit à s’imaginer pour quelles diverses raisons cette autre personne pouvait elle se trouver là … Comme de coutume, sa curiosité l’emportait encore loin des sentiers battus … La salle des trophées n’était pourtant pas le lieu le plus fréquenté de Poudlard, loin s’en fallait. Enfin, ce n’était pas plus son problème que la calvitie du vieux Flitwick et Jane prit parti de se taire. La grande horloge du château sonna neuf heures dans le lointain. Un bruissement agita quelques instants les feuillages et la lucarne entrouverte claqua de nouveau. Jane s’empressa d’en condamner l’accès à l’aide d’une poutre de bois qui traînait à ses pieds. Une fois le tour accompli, celle-ci se hissa sur la pointe des pieds, découvrant de ses grands yeux mordorés l’inconnu qui se trouvait désormais face à elle. C’était un garçon d’environ dix sept ans, à peine plus âgé qu’elle. Il arborait les couleurs de Poufsouffle, du moins fut ce ce qu’elle cru entrevoir dans la pénombre qui s’estompait peu à peu. Il aurait surement brisé bien des cœurs s’il n’affichait sans cesse ce regard étrange qui décourageait d’avance les plus audacieux. Jane ne connaissait point son nom, bien qu’elle l’ait déjà croisé quelques fois sans le remarquer vraiment … Ce fut d’une voix évasive qu’il s’excusa d’un mot. Notre demoiselle hocha la tête, quelque peu égarée par cette drôle de rencontre … RoasenbergPRENOM ~~> JaneAGE ~~> 15 AnsANNEE ~~> 5EmeDATE DE NAISSANCE ~~> Le 25 NovembreLIEU DE NAISSANCE ~~> Londres-Royaume-UnisORIGINE ~~> Sang-PurPHYSIQUE ~~>Voici un portrait de moi. Il date de l’année dernière. Oh, je n’ai guère changé depuis le mois de Mai. De toute façon, maman dit que je ne grandirai plus. Sorcière, plus d’excuse pour la soupe !Eh oui … Je suis plutôt mignonne. Non, vous m’aviez promis … Pas ordinaire ! Enfin si, peut être un poil mais rien de méchant. Comme beaucoup de demoiselles, je traite mes boutons d’acné en grimaçant, j’ai les épaules légèrement recourbées, un nez trop long à mon goût et un teint couleur papier chiotte. Je suis plus blanche qu’un cachet d’aspirine. Quand j’étais petite, ma mère me tartinait d’onguents magiques pour brunir ma peau du nord. Mais avec l’âge, elles perdent de leur efficacité. Mais on s’y fait à la longue. Les garçons ont grandis eux aussi et ils ne m’appellent plus grande perche en me désignant du doigt dans les escaliers. Et oui … Je ne suis pas miraculée et je vis le lot de tous mes camarades. Enfin, excepté les grosses dindes qui se pavanent avec leurs cheveux couleur de blé. Ce qu’elles peuvent m’agacer. Pour sur, elles ne sont pas ordinaires celles-ci. En revanche, j’ai un regard qui tue. Pour de bon, ce ne sont pas des blagues. A croire que Dany Brillant chantait pour moi … Non je plaisante … J’ai donc de beaux yeux sombres, légèrement bridés qui donnent à mon regard une ampleur dimensionnelle. Surtout quand je les cerne de noir. Papa n’aime pas que je me maquille. Il dit que ce n’est pas de mon âge. Attendez j’ai quinze ans quoi … Toutes mes copines se maquillent. Pfff … Comment je peux leur expliquer ça moi. Remarquez, vu comme je gigote tout le temps, ça ne tiendrait pas. Je cours de kilomètres et bam je transpire, fond de teint foutu. Je bois un grand coup de citrouille et boum, fini le rouge à lèvre. Et encore, je ne vous parle pas du mascara lorsque je me ramasse dans l’escalier et que je finis en larmes chez l’infirmière. En somme, je préfère aérer un peu mon beau visage de princesse ~~>Et voila c’est reparti … Qu’est ce que c’est que ces questions malvenues … Bon après tout pourquoi pas, mais laissez moi vous dire que vous êtes un bien drôle de lecteur et que vous seriez plus satisfait d’une interview du prince toujours été capricieuse et légèrement décalée quant au reste du monde. De plus, ce qui ne gâche rien au spectacle, j’étais très bonne comédienne. Je suis certaine que ma mère se ferrait un plaisir de vous conter mes scènes larmoyantes. Au final, je puis vous dire que j’obtenais régulièrement gain de cause. Il y’a autre chose que vous devez savoir sur moi … Non seulement je suis une petite fille comme les autres, mais en plus de cela j’ai horreur de me sentir ordinaire. Je rêve bien volontiers de mon nom écrit dans les livres d’histoires, ou bien encore de ce beau navire drapé de noir dont je vous causais tout à l’heure. Je m’imagine corsaire ou vagabond, princesse ou Charlemagne. Tout ce que vous voulez tant que ce n’est pas à la portée des autres enfants de mon âge. C’est aussi pour cette raison que je choisis Etude des moldus comme option, lorsque tous mes autres camarades se rendirent en classe de divination ou d’arithmancie. Résultat des courses … Nous ne sommes que trois pingouins durant ces heures ! Outre mon fichu caractère, je suis débordante de vitalité et de curiosité. Pour moi, la vie c’est comme un gros gâteau au chocolat. On se régale du début à la fin … Mourir d’une indigestion, ne serrait ce pas le rêve ?!Je suis également une grande sportive et véritable amatrice des jeux olympiques moldus. J’aime particulièrement ce qui a trait à la mer. L’été dernier, j’ai fait un stage de planche à voile, et croyez moi bande de gras du bide, on force sur les bras. Je suis aussi une camarade drôle et pleine d’une imagination débordante. Lorsque nous n’étions encore que des petits bébés de première année, nous nous rassemblions dans le dortoir afin de laisser libre court à notre imagination. J’inventer alors des contes merveilleux des quatre coins du monde, mimant la baleine bleue tout en gonflant mes joues rosées. Outre cela, je suis dotée d’un sens de l’équité, de la justice et de la tolérance qui ne se compte plus en bornes … Par contre je vous ai pas dit … J’ai une grave maladie Roulements de tambour … J’ai la bougeotte en permanence ! Rires … Sisi c’était drôle.HISTOIRE ~~>Bonjour à vous, cher lecteur. Mon nom est Jane Roasenberg. S’il peut vous paraître incongrue à vous, français, il semble des plus ordinaires dans mon pays natal, l’ prénom ordinaire pour une fillette des plus ordinaires en somme. Je vis en plein cœur de Londres, dans une modeste villa, prés du quartier latin. Je manie parfaitement le français, du moins à l’oral, parce qu’avec toutes ces conjugaisons … Je soufflerai mes quinze bougies le mois prochain. Autant vous dire que les préparatifs vont bon train … Quinze ans, ce n’est pas rien après tout … On quitte les douceurs de son âge pour gravir le sentier rugueux de l’adolescence … La belle affaire !Je suis fille unique mais il y’a toujours une bonne dizaine d’enfants à la maison. Laissez-moi-vous éclairer. Ma mère, Holly, est nourrice à mi temps. De plus, ma tante est une vraie pouponnière qui habite la ruelle qui fait l’angle … Donc les biberons valsent chaque matin, au lever du jour. Pas idéal pour faire la grasse mat’ mais à dire vrai je m’en réjouis plutôt. Mon père quant à lui tient un modeste commerce sur le Chemin De Traverse. On le surnomme joyeusement Gray le cuistot parce qu’il passe la majeur partie de son temps à mijoter de drôles de potions dans une marmite d’eau on me demande ce que je suis … Je ne saisis pas toujours le sens de cette question. Un jour, Oncle Jonhatan m’a expliqué que nombre de sorciers attribuaient de l’importance à ce qu’ils appellent la pureté de l’ascendance. Rendez vous compte … Je pensais que de nos jours, on ne s’arrêtait plus à de telles broutilles mais il paraît au contraire que cela doit être spécifié sur votre carte d’identité … Allons donc ! Je ne sais jamais vraiment que répondre … Je ne suis pas un crackmol, dieu merci, ni d’origine moldue puisque mes deux parents sont des sorciers … Cependant, mes grand parents du côté maternel n’étaient que simples moldus aristocratiques. Ils ont déshérité leur fille lorsqu’ils l’ont su ces bougres … Enfin bon, on s’égare … Où en étions nous ? Ah oui, mon enfance … Ce fut une enfance des plus ordinaires et je vécus les douceurs de mon âge sans trop de soucis … Quoique … Il y’a bien Baluchon, mon chimpanzé, importé des Indes par mon adorables cousin Louis, qui mourut prématurément. Et puis, si je me souviens bien, mémé Rose m’obligea à porter ces affreuses lunettes rondes durant mes deux premières années d’école. Sans compter mon dictateur de père qui me forçait à ranger ma chambre tous les lundis sans faute … Mais si on y réfléchit à deux fois, on s’apercevra sans mal que je fus une drôle de fillette bien tranquille dans son petit nid douillet. Je ne connus pas même le moindre bout d’un enterrement ou d’une séparation … Parfois, je me surprenais à échafauder des plans machiavéliques pour faire en sorte que ma vie soit plus attrayante. Je m’imaginais alors corsaire, à bord d’un beau navire drapé de noir. J’ai toujours aimé la mer. Quand j’étais plus jeune, nous partions chaque été en vacances, dans le sud de la France. L’eau y est plus chaude qu’en Angleterre, pour sûr. Nous dormions dans une cahute de pêcheur, chez mon oncle Sam, et sa française de femme, Alyson. J’étais même là pour le baptême du petiot, Oliver. Lorsqu’il était né, la légende raconte que le marmot avait les pieds palmés et que son père s’était écrié, levant les mains au ciel "Tonnerre de Brest … Il mourra en loup de mer … C’est écrit …"Personne n’y croyait vraiment mais tous faisaient mine de s’extasier devant les pieds tordus du nourrisson. Moi je rigolais bien tout de même. A l’école, c’était autre chose, ah ça oui. Je n’ai jamais été une lumière mais il y’eut des fois où mes instituteurs s’arrachaient littéralement leurs beau duvet grisonnants. Enfin bon, j’aimais lire, ce qui me maintenait tout juste en dessous de la moyenne. Pas de quoi en faire un fromage. Bien que mes bulletins scolaires ne soient pas brillantissimes, je me plaisais tout de même beaucoup dans ma nouvelle école. Le château m’apportait ce petit renouveau qui m’avait jusque là bien manqué. Je passais la plupart de mes vacances auprès de mes parents et des petits geignards, en vadrouille dans le salon. Vraiment … Je ne vois pas en quoi cela peut vous intéresser mais bon, puisque vous insistez, laissez moi continuer …Côté relationnel, je n’ai jamais eu de grands problème. Le temps était au beau fixe. J’étais une camarade extravagante et pleine de vie. En somme je n’eus guère d’ennuis avec mes petits compagnons ces quatre premières années. Je me souviens même de quelques flirts à l’occasion. Comme la plupart des filles de mon âge, je ressemblais plus à un pigeon qu’à une tourterelle avec mes longs cheveux filasses, mes quelques boutons d’acné et mes trois kilos en trop. Cependant, je ne m’en plaignais point, considérant la chance que j’avais que le sort ne m’ai point doté d’un corps de dinde. Si si, regardez bien … Il y’en a beaucoup qui se ballade dans les couloirs du château. De plus, j’avais, puis je m’admirer un poil s’il vous plaît, un magnifique regard sombre, débordant de caractère. C’était tout moi, et ce, en un seul battement des ma quatrième année, il y’eut du relâchement. La crise d’adolescence comme me le fis sagement remarquer ma mère dans chacune de ses lettres. Elle a parfois le don de m’agacer, comme beaucoup de mères semble t’il !Je manquai les cours plus souvent que de raisons, devenant de moins en moins assidue, sans qu’il n’y ait rien d’alarmant cependant. Je me disputais aussi un peu avec mon ami Raoul et perdit une belle somme en jouant à saute dragon avec des trolls. Je me repris tout juste en fin d’année et passai en cinquième année, au grand soulagement de mes voili voilo … Me revoilà sur scène … La vie plate et monotone de Melle Jane Roasenberg n’a pas fini de vous barber … A la prochaine!PARTICULARITES ~~> Un goût prononçé pour les ~~> Gentillesse, Douceur, Immagination, Drôle, ~~> Tête de mule, Gourmande, PREFEREE ~~> AstronomieMATIERE DETESTEE ~~> Métamorphose. VOUS .PRENOM ~~> LouAGE ~~> 18 AnsOU AVEZ VOUS CONNU LE FOFO ~~> Via un Top SitesCOMMENT LE TROUVEZ VOUS ~~> Cool ... AVATAR ~~> Hayden PannetièreCODE ~~> NOTE RP ~~> Hum ... Je dirais 6/10 ...Je me suis permise quelques pitits rajouts vis à vis de la fiche modèle ... Veuillez m'excuser. Je m'empresse de les ôter si cela ne vous convient pas ... Dernière édition par Jane Roasenberg le Mar 19 Aoû - 1652, édité 1 fois Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1647 Bienvenue ! Don't Worry, Be Happy. J'empêche personne d'arranger sa fiche comme il veut, il faut juste avoir le principal =P Ta fiche est très bien & je pense que tout y part un seul truc Le code du règlement ! ^^Sinon, tu as une préférence pour ta maison ?_________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1654 Merci pour ce bel acceuil ... J'ai rectifié mes erreurs En ce qui concerne mon appartenance à une maison, je vous laisse le soin de choisir pour moi ... Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1655 Le code est correct, je ta maison, j'hésite entre Poufsouffle & Gryffondor, mais je pense que tu serais mieux à ca ne te convient pas, n'hésite pas à le dire _________________ LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Jane Roasenberg5e année ~ Poufsouffle } Nombre de messages 6Age 32Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re Mar 19 Aoû - 1658 Va pour Poufsouffle ... No soucis Taylor A. Hitchcock Sweet Administrator. » Nombre de messages 44Age 27Localisation Hup Maison SerdaigleAnnée 7e annéeDate d'inscription 03/04/2008& More }{ SANG Sang Pur{ RELATIONS { PARTICULARITES Sujet Re Mar 19 Aoû - 1707 Tant mieux, donc LA HAINE n'est que le Résultat de notre indifférence. * } Contenu sponsoriséSujet Re Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum * Votre Identité } Fiche de Présentation Présentations ValidéesSauter vers
LeCarroussel Oublié par Angelene (morgane.lemenach@wanadoo.fr) et Anne Résumé : Laissez-vous entraîner par cette magnifique histoire, écrite par deux des meil. Bienvenue sur notre forum ^_^ Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Bienvenue sur notre forum ^_^ Le Deal
9août 2014 - Cette épingle a été découverte par catherine ouechtati. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les.Mamaman est partie, pour chasser les souris Tout seul dans mon panier, moi je m’ennuie ! Miaou Miaou Mon petit chat, ne soit pas aussi triste Miaou miaou Mon petit chat, faut pas miauler comme ça Ta maman reviendra, elle te consolera Au Toujourssur le thème du loup, qui sait d'où vient la chanson "Le loup" et qui commence par "on ne m'aime pas du tout, mon poil n'est pas doux, doux, doux.." ? Je sais qu'elle est en CD mais impossible de trouver le nom du chanteur et j'ai besoin de la musique pour mon spectacle. Merci beaucoup.
comptinedes légumes. comptine du vent. comptine du Dimanche. poésies et comptines méteo chez Zaz. chanson sur les 5 sens chez Sylvie R. comptine bonne année. comptines galette et sens. comptines sons et sens chez Maud comptine pour le miroir chez Dom. comptine sur le nez par Maud. chants de Noël. chant de Noël chez Béatrice. toc,toc,toc
Le26/02/2022 Rendez-vous le samedi 26 février 2022 à 20h30 à la MJC Culture situé 1, avenue de l'Europe à Crépy-en-Valois pour une pièce de théâtre "Résistance(s)" de Jean-Bernard Phillipot, par la Cie Nomades À partir de 12 ans Résistance(s) conte l'histoire de deux jeunes filles – une allemande et une française – confrontées à la dictature nazie.
Letour du monde de Loup - L'Egypte. Bonjour à tous, nous voici de retour pour une nouvelle étape du tour du monde de Loup. Aujourd'hui Loup a décidé de quitter le continent européen. Il va sur le continent africain, en Egypte. Dans ce pays où il fait très chaud, Loup découvrit de drôle de constructions : des pyramides et le grand Sphinx. Jai pas peur du loup. Quand tu m'emmènes dans les bois. Mais j'ai peur de toi. Quand tu joues à faire le loup. Le soleil qui nous inonde. Ne me brûle pas tant que toi. Je n'ai que ton cœur au monde. Oh, ne me le reprends pas. Laisse, baisse tes paupières. Jerecherche la version chantée du loup on ne m'aime pas du tout, de Corinne Albaut. Je l'avais trouvé sur le site de la fnac mais le cd étant en rutpure on ne peut plus Vouspouvez visiter le site de Corinne Albaut ICI ou jeter un coup d’œil à sa chaîne YouTube. Le loup. On ne m’aime pas du tout Mon poil n’est pas doux, doux, doux. On ne m’aime pas Lisezen plus sur Comptine "le loup et les brebis" par Gabby Marchand sur l'album Rêve petite pomme, et découvrez la jaquette, les paroles et des artistes similaires. Aprèsson entretien avec la Reine, Loup décida d'aller se promener dans Londres (la capitale de l'Angleterre). Il découvrit une magnifique horloge appelé Big Ben, il vit des bus rouges à 2 étages que l'on appelle Bus Impérial, il a aussi vu de beaux écureuils roux dans un grand parc. Contrairement à la France, ici on ne paie pas avec